• Parution

     

     

     

    Les Sonnets en version audio 

     

    Je viens d’achever l’enregistrement des 154 sonnets de Shakespeare, dans ma traduction originale. L’édition se présente sous forme d’une double CD audio vendu au prix de 16 €. Vous pouvez passer commande en cliquant sur Contact en haut à gauche de cette page et en me laissant vos coordonnées. Merci.

     

     

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  • Edition : ma dernière production

     

    Les Éditions du Club Zéro proposent une nouvelle traduction des Sonnets de Shakespeare en édition bilingue, 164 pages, au prix de 14 €. 

     

                       SHAKE-SPEARES

      

              SONNETS 

     

      

      Edition bilingue

    Traduction de Joël Hillion  

    Éditions du Club Zéro  

     

    L’ouvrage peut être commandé en me contactant directement : cliquez sur Contact ci-dessus. 

     

    Attention, cette édition est distincte de celle publiée chez L’Harmattan dans laquelle les Sonnets sont commentés sur 774 pages !

     

     

     

     

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  • Nouvelle édition 

     

     

    Illustration de couverture : Jean-Noël Duchevet. 

     

    Les Sonnets de Shakespeare

    Traduction et commentaires

    Édition bilingue  

     

    Après huit ans de travail, de passion et de patiente obstination, je suis enfin parvenu au bout de ma quête. Vient de paraître, chez L’Harmattan, ma traduction en édition bilingue des Sonnets de Shakespeare, abondamment commentée. Mon étude est approfondie. Je ne crois pas qu’on trouve l’équivalent dans le monde francophone.

       Les Sonnets sont l’œuvre la plus personnelle de Shakespeare. Non seulement ils sont beaux, mais ils sont aussi une clé irremplaçable pour comprendre le poète-dramaturge qui a sans doute été l’auteur le plus secret de sa génération. Le ‘gentle Shakespeare’ ne donnait pas prise. Dans ses Sonnets, il ne parle qu’à lui-même, et dans l’espèce de long monologue que représente le recueil, il révèle sa vérité sur le désir, la passion, la haine, la conscience, l’amour.

       Pour avoir accès à cette vérité, il fallait fouiller très profond. C’est ce que je présente sur 770 pages de notes et de commentaires. Les sonnets sont étudiés vers par vers, parfois mot à mot, tant l’écriture de Shakespeare est dense. On a prétendu que sa poésie n’était pas aussi riche de sens que son théâtre. Je crois pouvoir démontrer qu’elle est aussi puissante. Sans doute est-elle moins accessible. Il était donc nécessaire de l’étudier dans le plus grand détail.

       Fidèle à l’analyse que l’on trouve dans Shakespeare. Les Feux de l’envie, j’ai suivi la méthode de René Girard pour décrypter les Sonnets. Ceux-ci apparaissent comme le « champ d’expérimentation » de Shakespeare sur le désir et ils éclairent de façon éclatante l’œuvre du dramaturge autant que celle du poète. Écrits à la première personne*, ils nous révèlent Shakespeare « de l’intérieur ». C’est fascinant ! 

     

    * Les mots à la première personne (‘I’, ‘me’, ‘my’, ‘mine’, ‘myself’) sont au nombre de 787 dans l’ensemble du recueil. C’est dire si Shakespeare est présent dans les Sonnets !

     

     

    ISBN : 978-2-343-05491-9              54 € 

     

    Cliquez sur ce Lien pour L’Harmattan

     

     

    Mon site : http://shakespeare.sonnets.free.fr

     

     

     

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  • Shakespeare

     

     

    illustration de couverture : Jean-Noël Duchevet

     LE DÉSIR MIS À NU

     Le désir mimétique révélé à travers

    le langage de Shakespeare dans les Sonnets

     

    Nulle part mieux que dans les Sonnets le mécanisme mimétique n’est mis en lumière avec autant de justesse. Shakespeare paraît avoir expérimenté sur lui-même les ravages du désir mimétique. Fasciné par son modèle idéal, W.H., jeune homme sublime qui semble accumuler sur sa seule personne toutes les qualités du monde : jeunesse, beauté, noblesse, richesse, intelligence, talent, liberté, franchise, élégance et grâce, comme il les décrit au sonnet 37, le poète essaie de comprendre et d’interpréter le « travail » de la séduction sur lui. D’où vient-elle ? Quelle est sa force ? Quels sont ses pouvoirs ? Pourquoi la « poursuite du bonheur » est-elle si lourdement chargée de souffrance ? En même temps qu’il se dispute avec W.H. les faveurs de la dame sombre, sa maîtresse, Shakespeare écrit, dans le secret, 154 sonnets qui sont autant d’épisodes au cours desquels il se regarde en face, il s’examine, il s’interroge. Les Sonnets sont d’étonnants monologues et autant d’exercices de réflexion.

       Shakespeare, bien avant René Girard, repère les mirages du désir, les pièges tendus par la rivalité mimétique, la méconnaissance qui nous cache la vérité sur notre désir. Dans les conditions particulières de la rédaction des Sonnets, il se révèle à lui-même. Le résultat de cet « apprentissage de lui-même » est une double merveille. Nous n’avons pas seulement avec les Sonnets un parfait « traité de mimétisme ordinaire » ─ ce qui est déjà passionnant ─, nous possédons aussi la transcription, presque au jour le jour, du travail de conscience d’un homme seul qui découvre le mimétisme, l’expérimente sur sa personne, cherche à l’interpréter, parvient à le révéler, pour lui-même d’abord, et pour nous enfin, ses lecteurs anonymes. Avant d’être une « théorie », telle que René Girard a pu la construire et l’argumenter, le mimétisme est une expérience, une épreuve. Là aussi, on peut dire que l’épreuve est double. Elle est une épreuve au sens où elle a représenté pour Shakespeare une souffrance morale et une douleur d’écriture que nombre de sonnets nous laissent entrevoir, mais elle est aussi une épreuve au sens où les Sonnets se présentent comme un manuscrit « prêt à tirer », alors même que la « dernière relecture » paraît presque inachevée.

       Ce récit d’une victoire sur la mimésis est rare dans la littérature. Évitant le sacrifice violent ─ comme on le trouve dans ses tragédies ─, Shakespeare atteint un niveau de renoncement à peine concevable et pourtant authentique. Ayant surmonté et vaincu les mensonges du désir, il approche d’une vision véritablement sublime de l’amour.

     

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    L’essai  LE DÉSIR MIS À NU  est disponible

    chez L’Harmattan, 2012.        19 €

     

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  • Réédition

     

     

    Mon troisième essai sur l’éducation

     

     

    ET MON TOUT EST UN HOMME

     

     

    L’éducation a toujours été placée au cœur de la civilisation ─ comme si d’elle dépendait la survie du groupe. Elle concerne «  la transmission de notre humanité de génération en génération », elle est liée au processus d’hominisation. Parce qu’elle est « globale », elle implique toutes les institutions. La rivalité est grande entre, d’une part, la famille et l’école, et d’autre part, les décideurs économiques, les tenants du pouvoir politique, les marchands médiatiques. Aujourd’hui plus que jamais, l’enjeu est collectif, universel.

       Cependant, le « travail » d’éducation est un acte qui engage toujours des personnes uniques, dans une relation exclusive entre l’éducateur et l’éduqué. Apprendre, c’est se lier.  Toute perte de lien humain nuit à la transmission. L’éducation n’est la propriété de personne, ni celle de l’éducateur ni celle de l’apprenant, elle est ce qui se passe entre eux deux, elle est le relais, elle est un passage.

       Concentrer tous ses efforts sur les programmes, les méthodes, les technologies, nous distrait souvent de l’essentiel : que se passe-t-il vraiment entre celui qui éduque et celui qui est éduqué, que passe-t-il de l’un à l’autre ? C’est cette pédagogie du lien qui a retenu toute ma réflexion ─ après avoir absorbé toute mon énergie pendant près de 40 années d’enseignement... Ainsi ai-je éprouvé d’abord, et compris ensuite, que l’éducation est bien autre chose que la « transmission de savoirs », c’est une affaire de conscience et une aventure du cœur. 

       C’est cette révélation, difficile et magnifique, que je vous invite à partager avec moi.

                                                                                           

     

        ISBN : 978-2-9542310-3-7       20 €

     

     

    commande directe : 13 rue de Sèvres

                                     91540 MENNECY

    contre un chèque à mon ordre (prix franco de port)

     

     

     

     

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